Je vous ai abandonné longtemps. Trop de travail, de stress durant le mois de décembre. Une inquiétude aussi pour la suite, ma patronne prenant sa retraite à fin juin 2013.
Maintenant les choses se sont aplanies.
Noël a été une fête en famille, chaleureuse. Le temps a passé si vite, qu’il était une heure du matin et nous étions toujours aussi vigoustes et heureux d’être là tous ensemble.
Le lendemain, Annecy pour le Noël de
Belle-Maman, puis petit détour pour prendre Chanel et monter à
St-Luc.
Dans la voiture je commence à avoir
mal à la gorge….Le lendemain, j’ai vraiment très mal. Nous
avons de la famille qui vient quelques jours et je suis complètement
à côté de mes pompes…Finalement tout se passera bien.
J’apprendrai plus tard par mes
copines qu’il y a une épidémie de maux de gorge sans fièvre, qui
dure, qui dure…De gastrœntérite aussi…J’ai de la chance tout
de même.Je passe mes premiers jours de vacances à flemmer, lire, regarder des films. Je suis en manque de tout. A Genève je n’ai jamais le temps de regarder un film le soir.
Nous nous faisons des soirées TV-DVD, un vrai bonheur.
De la lecture aussi : une saga
québécoise « Mémoires d’un Quartier » de
Louise Tremblay d’Essiambre, dont les dialogues sont en joual. Je
me délecte.
Une petite virée à Sion le 31 pour un
dernier filet de perches chez Tout-en-Poisson. Toujours délicieux et
l’accueil de Géraldine tellement chaleureux. Nous adorons passer
un moment chez elle.
La soirée sera tranquille, tous les deux en amoureux, à déguster nos mets favoris accompagnés de bulles. Le tout sans exagération.
Le 1er il fait un temps maussade, jour-blanc. Une bonne raison de continuer à flemmer sans culpabiliser.
Mais aujourd’hui nous sommes sortis de notre hibernation, l’envie de skier nous tient. Il fait beau, il a un peu neigé cette nuit. Petit déjeuner vite expédié, puis rassemblons notre matériel.
Ce fut une journée magnifique !
Je craignais d’être nulle n’ayant plus aucun entraînement,
ayant peu skié l’année dernière. Eh bien pas du tout. Que du
bonheur ! Une neige excellente, nous avions trouvé une piste où
nous étions quasi seuls. Me réjouis déjà d’y retourner demain….
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