9 juil. 2012

Stanley Park

Ce matin levés tôt, décalage horaire oblige.
Petit déjeuner copieux pour le Loup, moi je me modère, faut dire que les patates rôties et œufs brouillés-bacon, je ne peux pas. Il me faut mes tartines.
Nous nous faisons refiler des tickets de bus pour un tour de ville qui incluent le Parc Stanley.

Nous partons donc dans notre bus et faisons le tour de ville. Nous sommes enthousiasmés. C’est beau, on voit que les JO ont eu lieu, Ils ont tout refait, tout est accueillant, partout. Passons un long moment àsur la place du Canada.


Après un premier tour au petit matin, moment où il n’y avait personne sur la route, nous faisons ensuite quelques courses et reprenons le bus, nous faisons déposer au début du parc aux Totems poles et en ferons le tour à pied. Incroyable cette ville qui a des plages qui donnent sur  des tas de soufre et des tankers.



Les hydravions décollent et atterrissent régulièrement, nous nous surprenons à rêver de faire un petit vol-découverte…



Le bord est séparé en deux pistes, l’une pour les piétons, l’autre pour les vélos, et nous sommes heureux de ne pas être cyclistes tellement ils sont nombreux. Heureusement aussi qu’ils roulent tous dans le même sens !
Ils ont mis 60 ans à construire ces pistes.
Nous ne verrons aucun ratons-laveurs, nous avons eu beau demander où se trouve la buanderie, personne n’a su nous répondre. Nous étions obligés de le demander en français, parce que demander : "Where is the washroom for the raccoons" ? On nous aurait regardé de travers !  Nous sommes un peu déçus, mais ce n’est que le premier jour. En revanche, nous avons vu un rat qui lavait rien du tout …. sur le bras d’une fille, dans la rue.
Bilan de la balade sur une douzaine de kilomètres : 1 écureuil et des canards râleurs, deux grosses grues grises.



Vancouver est une ville immense, tellement multiculturelle (on y parle 35 langues) que nous sommes incapables de dire qui est « blaireau » comme nous, ou indigène.

Nous avons parlé de l’hôtel qui est bien placé, mais ce qu’il faut rajouter c’est que c’est la plus belle chambre que nous n’ayons jamais eue, spacieuse, calme, vue épatante en angle avec des fenêtres partout, elle est géniale. Merci à Nicolas (de l’agence Transcontinental de Chêne-Bourg) pour son choix.



Le Loup est mort de fatigue, le jetlag a raison de lui. Moi je suis tellement contente d’être là que je n’en ai plus. Je suis déjà à l’heure locale. Je me suis immergée totalement et immédiatement dans cette ville que nous aimons tous les deux et où nous songeons que nous pourrions vivre.


Mon Loup est un voyou, comme il s’ennuyait debout dès potron-minet, il a fait du café. Vous avez déjà pu, vous, résister à l’arôme enchanteur du café ? Moi non plus !

Tout à l’heure nous allons chercher notre maison, l’aventure commence….

Ah la la ! L'appareil de photos se cache dans l'étui de la souris, sacrée Jujunette !

1 commentaire:

  1. Vous êtes beaux mes ratons!! C'est ça, allez vivre à Vancouver, oui, je vous conseille:-D! Qu'on surnome d'ailleurs HongCouver tellement ya de ... singes?!;-)
    A vite la suite!

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